Si je pense ça, c'est que j'ai déjà expérimenté cette situation.
On m'avait dit (une "amie" assez fantasque, qui est partie, depuis, habiter fort loin - hélas) que les gens peuvent être jaloux sans raison. A l'époque, j'avais trouvé qu'elle exagérait.
Puis mon expérience avec Emma m'avait amené à penser le contraire : en fait, au bout d'un moment, soupçonner Emma de dire du mal de moi et de me dénigrer expliquait toutes sortes de choses qui se produisaient autour de moi.
Et là, je me suis dit que si une hypothèse, même en apparence folle, expliquait certaines choses, des gens qui me faisaient soudain la tête, les révélations de "personnes bien intentionnées", alors cette hypothèse devait être considérée.
Même si je n'aimais pas cette sorte de petite parano qui fait qu'on soupçonne quelqu'un sans certitudes, j'ai sauté le pas, et j'ai décidé de le faire. De soupçonner, tout en n'aimant pas cette façon de procéder, et de réagir pour faire face : j'ai dit, chaque fois que l'occasion se présentait, tout ce que je savais sur Emma. Comme sa réputation était batié sur des mensonges, elle a fini par quitter la région - ce qui, je l'avoue, m'a moi-même surpris : je m'attendais seulement à ce qu'elle soit plis discrète, et non pas à ce qu'elle disparaisse.
ça a été une première victoire, sauf que je l'ai obtenue par de drôles de moyens, mais efficaces.
mercredi 7 octobre 2009
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